Communiqué

Nouvelles données scientifiques sur la vaccination de masse

Nouvelles données scientifiques sur la VACCINATION DE MASSE anti-covid
Le COLLECTIF SANTE vous ALERTE sur ses DANGERS

Rappel :
La campagne de vaccination anti-Covid a débuté en France au mois de décembre 2020 et nous en sommes
déjà à la 4ème dose préconisée chez les personnes âgées et bientôt en population générale.
Cette campagne a d’abord été recommandée, puis quasi-imposée en population générale (via le passe
sanitaire), et même rendue obligatoire pour certains professionnels, sous peine d’exclusion sociale (hôpitaux,
cliniques, médico-social, pompiers, etc.), alors même que ces vaccins sont encore en phase expérimentale.
Or, depuis 18 mois, qu’avons-nous appris ?
– Que ces « vaccins » génétiques expérimentaux sont beaucoup moins efficaces qu’annoncé, voire
inefficaces sur les nouveaux variants.
– Que ces « vaccins » produisent des effets secondaires, dont 25 % sont jugés graves selon l’ANSM (y
compris décès par accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde, choc anaphylactique, mort subite, etc.)
– Que le mode déclaratif pour recenser des effets indésirables (pharmaco vigilance), détecte moins de
10% des effets indésirables réels (les raisons = déclarations basées sur le volontariat, dysfonctionnements
récurrents du site pour déclarer, procédure longue et difficile, aucune formation ni information auprès des
professionnels de santé et des citoyens pour apprendre à déclarer)
– Que certains sous-traitants de Pfizer ont fraudé dans l’analyse des données de l’essai de phase II-III
ayant permis l’obtention de l’AMM conditionnelle (« Pfizer gate »),
– Que des données ont été cachées, ou manipulées, dans les essais ultérieurs effectués chez les enfants
et les femmes enceintes
Plus récemment aux USA, nous apprenons :
– Que le juge fédéral du Texas, Mark Pittman, a ordonné à la FDA la déclassification des centaines de
milliers de pages de données des essais cliniques menés par Pfizer. Or ces documents révèlent :
o Un nombre de décès toute cause confondue anormalement élevé dans le groupe « vacciné » par
rapport au groupe témoin
o L’absence d’études de génotoxicité et d’immuno-toxicité
o Une composition complète du produit encore tenue secrète
o Des lots de « vaccins » non homogènes,
o Une méthode de purification de l’ADN (servant à fabriquer les brins d’ARN) non évaluée,
o etc.

– Que Pfizer vient pourtant d’obtenir l’autorisation pour « vacciner » les enfants de moins de 5 ans10.
– Que Moderna demande à commercialiser un vaccin modifié à partir de simples études préliminaires…11
Et pendant ce temps en France, nous apprenons :
– Que le risque de mutation du Sars Cov 2 peut être majoré par cette campagne de vaccination de masse
menée en pleine période épidémique12
– Que le rapport de la biostatisticienne Christine Cotton révèle de nombreuses anomalies et fautes
méthodologiques dans les essais cliniques de phase II-III du laboratoire Pfizer13
– Qu’une commission sénatoriale vient d’auditionner de nombreux experts et témoins des effets
indésirables survenant en France14 (!!! auditions de Ch. Cotton, E. Darles et V. Pavan non rendues publiques !!!)
– Que la suspension des soignants non vaccinés est maintenue, alors même que le passe ne l’est plus et
que les soignants vaccinés et malades du covid, donc contagieux et fatigués, sont eux autorisés à venir
travailler au contact des patients, y compris fragiles, qui ne sont pas informés15
Pour toutes ces raisons, qui font craindre que le remède soit pire que le mal :
– Au nom du principe fondamental Primum non nocere
– Du fait de la faible virulence des nouveaux variants du Sars Cov 2 (devenus moins dangereux qu’une grippe
saisonnière) chez les enfants et en population générale
Le Collectif Santé exige :
– Un retrait immédiat de l’AMM conditionnelle des vaccins génétiques expérimentaux anti-covid,
– Une reprise des études de phase III dans les règles de l’art, ciblées cette fois uniquement sur les
groupes à risque
– Le respect total et absolu du « consentement éclairé » dans le cadre de ces nouvelles études pour
toute personne volontaire souhaitant y participer
– Une consultation médicale préalable à toute vaccination expérimentale, comprenant une
information claire, complète et loyale sur la composition, les mécanismes d’actions et les effets
indésirables connus du produit expérimental proposé au patient

 

Enfin, le Collectif Santé rappelle qu’il demande toujours l’abrogation immédiate de la loi inique de 5 août
2021 qui a rendu obligatoire l’injection d’un produit expérimental pour certains professionnels, au mépris
de tous les textes de loi antérieurs16 (« loi Kouchner » sur le consentement éclairé obligatoire + « Code civil » sur
l’inviolabilité du corps humain, « Convention d’Oviedo » européenne et « Code de Nuremberg » sur l’obligation du
consentement éclairé pour toute expérimentation médicale etc…)

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